les Vosges à pied avec Roger

Le Cap de Bonne Espérance

Jusqu'en 1497, la pointe Sud de l'Afrique fut appelée le Cap des Tempêtes : en ce point de jonction entre Océan Indien et Océan Atlantique, les tempêtes étaient fréquentes et violentes. Mais en 1497, le navigateur Vasco de Gama réussit à franchir le cap et découvrit la route des Indes Orientales. Dès lors, le Cap des Tempêtes fut appelé Cap de Bonne Espérance : les précieuses richesses convoitées – soie, thé, épices, or surtout – devenaient accessibles.
Dans toute vie, il y a espoir d'amélioration, recherche de solutions. C'est ce qui donne un sens, un but à l'existence. Sans espérance, pas d'avenir. Mais que d'espérances déçues ! Espérer en un monde meilleur s'est révélé illusoire et utopique. Posséder toujours plus de biens matériels ne comble pas les besoins affectifs. Accomplir des rites religieux n'apporte pas de certitudes pour notre âme.
Pourtant, au cours des siècles passés, comme de nos jours, des hommes, des femmes ont placé leur espérance en une personne : Jésus Christ. Ils ne l'ont jamais regretté. Devenu leur Sauveur personnel, il a donné un sens à leur vie. La Bible, avec les promesses qu'elle contient, a été un guide dans tous les épisodes de leur histoire. Les tempêtes ont été franchies en s'appuyant sur la fidélité de Dieu, d'un Dieu vivant qui se révèle au quotidien à ses enfants. Quant à l'au-delà, le croyant, qui a cru en l'oeuvre de Christ, possède la certitude du salut éternel, d'un avenir éternel de bonheur. Est-ce là votre espérance ?


25/08/2007
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